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LOT DE DEUX UNIFORMES DE GRANDE TENUE ET DE PETITE TENUE DE LA COMPAGNIE ÉQUESTRE DE POLICE DE LA VILLE DE BORDEAUX, Troisième République.

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LOT DE DEUX UNIFORMES DE GRANDE TENUE ET DE PETITE TENUE DE LA COMPAGNIE ÉQUESTRE DE POLICE DE LA VILLE DE BORDEAUX, Troisième République.

UNIFORME DE GRANDE TENUE

Casque sur le modèle des casques de cuirassiers, modèle 1872, composé d'une bombe, d'une visière et d'un couvre-nuque en acier. Toutes garnitures en laiton. Visière et couvre-nuque cerclés d'un jonc en laiton plié à cheval sur la bordure extérieure. Couvre-nuque doublé d'un cuir ciré noir. Bandeau frontal avec les armoiries de la ville de Bordeaux au centre encadrées de branches de laurier. Cimier en laiton composé de deux ailerons frappés d'une suite de godrons décroissants vers l'arrière et d'un masque en partie basse et tête de méduse en partie haute, fixé à la bombe au moyen de quatre vis en laiton. Porte-aigrette composée d'une douille et d'une olive en laiton et d'une aigrette en crins rouges. Crinière en crins noirs, 53 cm de longueur environ, avec tresse en son centre. Porte-plumet tubulaire à section carrée légèrement décroissant vers le bas. Jugulaires composées de mentonnières en cuir recouvert d'écailles festonnées et de rosaces fixées à la bombe au moyen d'une serrure. Bombe matriculée « 10399 B ». Coiffe intérieure en cuir ciré noir à sept dents de loup.
Habit de grande tenue en drap bleu foncé presque noir, fermant droit à l'avant au moyen de neuf boutons en laiton doré frappé d'une bombe enflammée, passepoil écarlate. Collet garni de pattes de collet bleu foncé brodées écarlate du chiffre de la ville de Bordeaux, doublé en drap écarlate. Parements en drap bleu foncé formant pointe à l'avant, passepoilés écarlate et surmontés d'un galon de grade en passementerie dorée tissée lézard, largeur 1,3 cm. À l'arrière, deux fausses poches verticales à deux pointes passepoilées écarlates et chacune garnie de trois boutons d'uniforme. Passants d'épaulettes en drap bleu foncé recouvert d'un galon orange. Paire d'épaulettes en forme de trèfle en galon tissé orange, matriculées « 35?3 » (un chiffre illisible). Aiguillettes en passementerie orange foncé à deux ferrets de laiton décorés de bombes enflammées.
Paire de gants à crispins en drap fin blanc.
Giberne avec banderole en buffle blanchi, largeur 5,4 cm, à double piqûre. Bouclerie et garnitures en laiton. Décorée à l'avant d'un mufle de lion en laiton embouti et d'un écusson frappé d'une grenade avec trois chaînettes épinglettes. Coffret de giberne en cuir verni noir, H 10 cm, largeur 18 cm, épaisseur 6 cm. Pattelette, H 12 cm, largeur 19,5 cm, décorée en son centre du chiffre de Bordeaux en laiton estampé.
Ceinturon porte-sabre en buffle blanchi, largeur 5 cm, à double piqûre, courroie de suspension du sabre en buffle blanchi, largeur 2 cm. Bouclerie en laiton. Plaque de forme rectangulaire aux angles coupés, H 6,5 cm, largeur 7,5 cm, décorée en son centre du chiffre de Bordeaux.
Culotte de cavalerie en toile de coton blanc fermant au moyen d'un bouton en os avec braguette à quatre boutons en os.
Paire de bottes à l'écuyère en cuir verni noir souple à tige rigide en partie haute. Une des bottes est marquée « AU SABOT ROUGE 30 RUE DE FLANDRE PARIS » avec le matricule « 5 ». H totale 52 cm. Talon clouté, longueur extérieure du pied 31,5 cm. Éperons en acier, complets de leurs courroies de fixation à la cheville.

France.
Troisième République.
Casque en bon état, oxydation des parties en acier à nettoyer, usure sur l'un des ailerons, coiffe intérieure en mauvais état.
Uniforme en très bon état.
Gants en état neuf.
Giberne et ceinturon en très bon état.
Culotte en mauvais état avec déchirures et accidents.
Paire de bottes en très bon état.


UNIFORME DE PETITE TENUE

Habit de petite tenue en drap bleu foncé presque noir, fermant droit à l'avant au moyen de neuf boutons en laiton doré frappé d'une bombe enflammée, passepoil écarlate. Parements en drap bleu foncé formant pointe à l'avant, passepoilés écarlate et surmontés d'un galon de grade en passementerie dorée tissée lézard, largeur 7mm. À l'arrière, deux fausses poches verticales à deux pointes passepoilées écarlates et chacune garnie de trois boutons d'uniforme. Passants d'épaulettes en drap bleu foncé recouvert d'un galon orange. Paire d'épaulettes en forme de trèfle en galon tissé orange.
Ceinturon en cuir verni noir, largeur 4,5 cm, avec gousset pour le port de l'épée. Bouclerie en laiton. Plaque de ceinturon de forme carrée, 6 cmx 6 cm, décorée du chiffre de Bordeaux.
Épée sur le modèle pour les sous-officier de la Garde de Paris Second Empire : monture en laiton fondu monobloc, clavier décoré du chiffre de Bordeaux entouré de deux palmes, branche de garde unie, pommeau à godrons, poignée moulée en relief d'une bombe enflammée avec branche de laurier. Lame droite à gouttières, longueur 77,2 cm, matriculée « 96 » au talon. Cravate en cuir naturel. Fourreau en cuir verni noir à deux garnitures de laiton décorées aux traits.

France.
Troisième République.
Uniforme en très bon état.
Ceinturon en très bon état mais gousset porte-épée en mauvais état (déchiré).
Épée en bon état, monture en très bon état, lame avec une légère oxydation de surface, fourreau en bon état mais dont le cuir a cassé au-dessus de la bouterolle.

ARMOIRIES ET CHIFFRES DE LA VILLE DE BORDEAUX :
Le blason de Bordeaux, ou armoiries de Bordeaux, est une représentation figurée et symbolique, dont les éléments rappellent l’histoire de la ville de Bordeaux.
Le premier blason connu de Bordeaux remonte à l'époque médiévale de Richard Cœur de Lion (Richard Ier d'Angleterre). Il arbore notamment les trois lions de la famille Plantagenêt, qui s'identifieront progressivement comme les armoiries de l'Angleterre.
« De gueules ; à la Grosse Cloche ouverte, ajourée et maçonnée de sable et sommée d’un léopard d’or ; à la mer d’azur, ondoyée de sable et d’argent, chargée d’un croissant aussi d’argent ; au chef d’azur, semé de France. »
- La « Grosse cloche » : représentation des tours de l'ancien hôtel de ville dont il reste aujourd'hui la Grosse cloche.
- Le « léopard » : en héraldique, le lion et le léopard désignent le même animal, à savoir le lion, mais avec une position de tête différente. Avec la tête de profil on le blasonne « lion » ; avec la tête de face on le blasonne « léopard ». Ici il s’agit du lion des Plantagenêts, devenus rois d’Angleterre. Pendant l'époque anglaise (1154-1453), le blason de Bordeaux comportait trois lions, qu’on retrouve encore aujourd’hui dans les armoiries anglaises. Avec la fin des possessions françaises du roi d'Angleterre, à la suite de la bataille de Castillon en 1453, seul un lion demeure.
- La « mer d’azur ondoyée de sable et d’argent » : représentation stylisée de la Garonne.
- Le « croissant » : allusion à la forme semi-circulaire du port de Bordeaux, raison pour laquelle on l’appelle le « Port de la lune » depuis le Moyen Âge.
- « Chef d’azur semé de France » : en haut du blason sont représentées les armoiries du roi de France. Cette partie a été ajoutée après la période anglaise, en remplacement de deux lions anglais.

Logotype, « petites armoiries » et « chiffre » de Bordeaux.
Le « chiffre » de Bordeaux, appelé aussi « petites armoiries », est une représentation stylisée qui sert de signature modernisée, utilisée parfois à la place du blason. Il est formé de trois croissants de lune entrelacés. On ne le trouve pas avant le milieu du XVIIe siècle. Il figure, d’abord, sur le dos et les plats des reliures des livres de prix décernés par le collège de Guyenne, et orne, au XVIIIe siècle, le fronton de la fontaine Saint-Projet (1715), puis la fontaine de la Grave (1788). Ensuite il sera représenté sur nombre de monuments et le mobilier urbain. Ce chiffre est aujourd’hui le symbole utilisé pour le logo de la ville.
En ce qui concerne l’origine et le sens de ce symbole, les versions sont nombreuses. Pour d’aucuns, les trois croissants représentent les trois courbes de la Garonne dans l'agglomération, ou encore la réunion de la Garonne, la Dordogne et la Gironde. Pour d’autres, ils proviendraient des armes de Diane de Poitiers ou encore du roi de France Henri II.
Plus probablement, ces croissants ont pour origine celui qui figure seul sur les armes de la ville et qui représente le Port de la lune. Quant au nombre de trois, selon l’ancien maire de Bordeaux Adrien Bayssellance, il s’agit plus vraisemblablement d’une coïncidence. Le croissant unique formait à lui tout seul un motif de décoration trop maigre et l’on a remédié à cet inconvénient par l’entrelacement de trois pour gagner en équilibre esthétique.

PROVENANCE :
Cet ensemble provient du même policier et n'a jamais été désuni depuis la Troisième République.

NOTE :
Ce modèle d'uniforme est rare, il est directement inspiré de celui de la Garde Républicaine de Paris.
Le casque est aussi connu avec le chiffre de la ville de Bordeaux à la place des armoiries de la ville. D'autres villes ont eu ce même type de casque dont : Marseille, Lyon, Nîmes.

HISTORIQUE :
Il est rare de trouver des archives sur ce type de corps, une très intéressante étude existe sur la police équestre de Lyon.

La police à cheval
Les unités équestres dans la police de proximité
La compagnie équestre de police de Lyon – Une petite garde républicaine
http://www.slhp-raa.fr
À Lyon, la préfecture était inaugurée, le 20 août 1890, par le préfet Jules Cambon. C’était l’occasion de regrouper les services centraux de police et de les transférer progressivement de la Presqu’île sur la rive gauche du Rhône. À cette fin, le préfet décidait de faire construire une caserne de police, rue Molière à 20 mètres de la préfecture. Celle-ci était désignée sous le vocable de « Caserne centrale de gardiens de la paix à pied et à cheval avec bureau de poste et de télégraphe, dépendances et commissariat de police ». Son architecture reprenait les plans d’une caserne avec un bâtiment central et deux ailes latérales ouverts sur une cour, une place d’armes ; un quartier de cavalerie en miniature avec manège, écuries, sellerie, fenil, etc. Elle a été longtemps désignée comme caserne de « la garde municipale ». Le mur d’enceinte n’a guère changé au cours des décennies. Une guérite avait été édifiée, « en renfoncement dans le mur de la clôture, percée de petites meurtrières garnies de volets pour protéger le factionnaire contre les courants d’air ». Pour la décoration extérieure, le préfet avait obtenu du commandant de la place huit bombes d’artillerie « hors-service ». Ce bâtiment conservera cette architecture générale jusqu’à sa destruction à partir de 2008. Un passage souterrain entre la caserne et la préfecture
était creusé. Il était destiné au passage de la cavalerie. Petit aléa, la hauteur sous-voute prévue initialement dut être revue par l’architecte pour permettre le passage des montures harnachées avec leur cavalier ; elle était portée à 2,40 m. La cavalerie était utilisée comme force de rupture pour la dispersion des attroupements. Ce qui explique l’importance donnée à la construction de ce passage pour acheminer des renforts en toute sécurité et discrétion dans l’enceinte préfectorale. Il offrait aussi la possibilité au préfet d’échapper à un siège. Son existence gardée secrète a nourri les fantasmes de la presse pendant un siècle. Les gardiens à cheval participaient à la garde de la préfecture ; à l’intérieur des postes de police de gardiens de la paix et agents de police de sûreté, militaire avec des fantassins et des dragons et de sapeurs-pompiers. Des petites écuries dans le bâtiment de la rue Pierre Corneille étaient réservées aux montures de police et de l’armée, plus un garage pour les voitures de la préfecture.
Cette caserne centrale abritait, outre l’unité équestre, une compagnie de gardiens de la paix, un poste de police et un corps de garde, des cellules et des violons, un commissariat de police et un casernement pour les officiers, les gardiens de la paix célibataires ou avec familles, répartis dans des appartements ou des dortoirs.
La brigade à cheval, créée en 1882, était composée de 30 hommes et de 32 chevaux. Commandée, le 10 janvier 1890, par un sous-lieutenant, un adjudant, quatre maréchaux des logis dont un chef et 24 gardes. Ils portaient les grades de la cavalerie. Le terme le plus adéquat parait être celui de compagnie et non de peloton puisqu’elle était articulée en trois brigades et commandée, en 1916, par le lieutenant Cottaz ; y était adjoint un vétérinaire. La solde des cavaliers était supérieure à celle des gardiens à pied. Ils constituaient, comme dans l’armée, une sorte d’aristocratie et affichaient une supériorité que leur taille et leur uniforme leur conférait. Un état d’esprit que l’on retrouvera plus tard chez les motards de la police. À cette époque la quasi-totalité des policiers en tenue étaient issus de l’armée et les hommes à cheval de la cavalerie ou du monde paysan.
Au hasard de nos recherches, nous avons pu rencontrer les dossiers de quelques-uns de ces « centaures » : « Decroze, bel homme, mais léger, aime trop les cocottes, très bon cavalier » ; en cas de punition, ils pouvaient être remis à pied. Leur aptitude à monter était notée ; chez l’un d’eux « manque d’assiette à cheval ». Jules, Simon Groc était passé de la 2e Cie à la 1ère Cie, le 11 septembre 1903. Il obtenait une gratification, le 31 décembre 1906, de 25 F pour le dressage d’un nouveau cheval. Le 17 octobre 1912, l’officier de paix Bacci relatait la chute du gardien et du cheval : « Le 17, vers 2 h 30 du soir, retour du peloton en colonne par deux, revenant de la manœuvre au Grand Camp, à l’extrémité de la digue, vers le pont du chemin de fer, où il y a des travaux de terrassement, le cheval a glissé des pieds antérieurs et s’est abattu sur les deux genoux entrainant son cavalier qui a été victime d’une déchirure musculaire de la jambe gauche entrainant 10 jours d’exemption de service. Ce gardien était tout désigné pour rejoindre cette unité. Il avait été l’ordonnance du chef d’escadron Matuszynski du 10e cuirassiers. Il était noté comme « Excellent cavalier, beau gars, d’un caractère très sérieux, intelligent, dévoué et honnête. Ancien cultivateur. » Il était bénéficiaire d’un témoignage de satisfaction.
Ils arboraient une tenue prestigieuse. En grande tenue, ces cavaliers revêtaient un uniforme bleu foncé, emprunté à celui des dragons et des gendarmes, avec des retroussis carotte (aurore ?) puis écarlates (seule gravure couleur connue), des aiguillettes avec trèfle ou épaulettes, une culotte blanche et des bottes à l’écuyère, des gants à crispins, un casque à la minerve avec le lion sur le masque ; les armes de Lyon au collet, sur les boutons et la boucle du ceinturon et le galonnage militaire. Ils étaient armés d’un revolver d’ordonnance 8 mm et d’un sabre (cérémonies, honneurs, escortes, maintien de l’ordre). Ils ne portaient pas de giberne (contrairement aux dragons). Il est possible qu’ils aient disposé de mousquetons. En tenue de service, ils portaient l’uniforme des gardiens de la paix, dolman, avec distinctives écarlates, bottes et casquette-képi.
Outre la garde de la préfecture, les escortes d’honneur, les cérémonies et les défilés, ils assuraient au quotidien des liaisons et des courriers et participaient aux opérations de maintien de l’ordre qui ne nécessitaient pas le recours à l’armée. Lors de la visite du président Sadi Carnot à Lyon, le 25 juin 1894, le cortège était ouvert par les « gardes municipaux à cheval ». L’escorte était faite par des cuirassiers. L’assassin était maîtrisé par le gendarme Piétri, l’agent de sûreté Colombani et le gardien de la paix Brun. La gravure de l’époque montre au premier plan un gardien de la paix à cheval.
Les chevaux recevaient un dressage militaire de base.
La cavalerie de la police lyonnaise, sera victime de la Grande Guerre et du vélo. Une importante compagnie cycliste était formée en 1913. En 1916, la sellerie était transformée en locaux pour les cabinets médicaux de la police et en 1923 était construit un « garage à bicyclettes ».
Sur la police (municipale) à cheval de la ville de Toulouse nous n’avons que peu d’éléments, si ce n’est sur des dates où elle a existé : un avis d’adjudication aux enchères publiques pour la vente d’une jument réformée, le 19 février 189645, un autre sur l’adjudication, du 22 février 1894, en vue de la fourniture « pour une année, du foin, de la paille et de l’avoine
nécessaire pour la nourriture des chevaux de la police municipale. » La caserne de la police municipale à cheval était située rue Vidale46. Cette unité a dû disparaître aussi en 1914. Toutefois, on note une brigade cycliste dès 1904.
La préfecture était installée antérieurement à l’Hôtel de Ville de Lyon
Selon le principe du partenariat public privé (PPP)
Au prix de 629.750 F remboursables en 11 annuités (PPP). Livraison prévue fin juin 1891 ; réception des travaux par l’architecte en chef, le 12 octobre 1891.
En 1913, l’opération de « blanchissement des façades et réparations de la caserne Molière, des casernes Dunoir et Desaix, » prévoit des massifs de fleurs à l’entrée.
Deux pièces, une pour le jour (sur la cour avec râtelier d’armes, banc et table de casernement, cruche et balai) et l’autre pour la nuit (avec lits de camp fixes pour quatre hommes ; pièces voisines de l’écurie des gardes à cheval.
ADRML R 1568 - Hôtel de Préfecture 1887-1892, locaux destinés aux services de police : dans aile sud ; 4ème division (section de police) et commissariat spécial, aile gauche RDC et entresol ; Bureaux du secrétaire général de police et appartements ; postes de pompiers et de gardiens de la paix à pied et à cheval.
78 gardes, sept s/off à pied, 1 maréchal des logis chef, 2 maréchaux des logis mariés et 8 gardes à cheval mariés soit 96
ADRML 4M 61 et 4M 62, Deux registres du corps des gardiens de la paix de Lyon, respectivement de 1890 et de 1898. Dans les deux, la seconde partie est réservée à la « cavalerie ». 30/600 gardiens, gradés et officiers. Le second registre cuir de très grand format, vert, avec inscriptions sur fond bordeaux, coins de la couverture en métal, se termine par un répertoire. Il recense tous les gardiens du corps avec onglets par grades : Adjudants, brigadiers de 1ère et 2e cl et honoraires, sous-brigadiers 2 classes et honoraires, gardes de 4 classes. 4N 109, composition des corps de garde.
Indicateur HENRY 1910
Jusqu’à la suspension du service militaire en 1996, il fallait avoir rempli ses obligations militaires. Que la caricature n’a pas épargnés
Les appréciations peuvent aller de très bon, bon, assez bon, correct, médiocre à.... serviteur,
Ils utilisaient les infrastructures de l’armée pour s’entrainer.
Reference : 24946
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