ROUSSELOT Lucien - Ensemble de treize encres de chine sur calque : GARDE IMPÉRIALE CONSULAT - PREMIER EMPIRE, XXème siècle.

ROUSSELOT Lucien - Ensemble de treize encres de chine sur calque : GARDE IMPÉRIALE CONSULAT - PREMIER EMPIRE, XXème siècle.

Ensemble de 13 calques 13,7 cm x 26 cm dessinés à l'encre noire et représentant :
- dragon de la Garde Impériale
- marin de la Garde Impériale
- chasseur grenadier de la Garde Impériale
- chasseur sapeur à pied de la Garde Impériale
- grenadier à pied de la Garde Impériale
- gendarme d'ordonnance de la Garde Impériale
- gendarme d'élite de la Garde Impériale
- grenadier à cheval de la Garde Impériale
- cuirassier de l'armée française
- maréchal des logis des mamelucs de la Garde Impériale
- dragon de la garde Impériale
- chasseur à cheval de la Garde Impériale
- canonnier de la Garde Impériale.

France.
XXème siècle.
Bon état.

BIOGRAPHIE :
Lucien ROUSSELOT, né le 4 mai 1900, décédé le 4 mai 1992. Peintre officiel de l'armée, chevalier de la Légion d'Honneur, officier des Arts et Lettres, chevalier des Palmes Académiques.
Peintre et illustrateur de sujets militaires, au cours de sa carrière, il a produit une abondante iconographie traitant des uniformes portés au sein de l’Armée française sur une vaste période allant du XVIème siècle à la fin du XIXème siècle. Il collabora à partir des années 1920 comme illustrateur et uniformologue à la revue Le Passepoil dirigée par Eugène-Louis Bucquoy, pour qui il illustra aussi certaines des séries de cartes consacrées aux uniformes du Premier Empire. Membre de la société La Sabretache, il collabora aussi pour la revue de la société Le Carnet de la Sabretache et ce jusqu'aux années 1990. Son œuvre, considérée comme majeure, est la série de 106 planches uniformologiques traitant, pour plus de la moitié d’entre elles, des uniformes français portés durant le Premier Empire : L'Armée française, ses uniformes, son armement, son équipement, qu'il réalisa de 1943 à 1970. Pour la réalisation de ses peintures et ses planches il utilisait des mannequins articulés de soldats et de chevaux miniatures qu'il avait fabriqués à l'échelle 1/7e, accompagnés d'accessoires. Il est inhumé à Marles-en-Brie (Seine et Marne).