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ORDRE DU MINISTRE DE LA GUERRE AU QUARTIER GÉNÉRAL DE LANDAU, 1799, Révolution. 12542

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ORDRE DU MINISTRE DE LA GUERRE AU QUARTIER GÉNÉRAL DE LANDAU, 1799, Révolution. 12542

« ARMÉE DU RHIN au quartier général de Landau le 4ème jour complémentaire de l'an sept (20 septembre 1799 dit jour de l'opinion), Baraguey d'Halliers général divisionnaire, chef de l'état-major-général au citoyen Dubois Crancé Ministre de la Guerre. »
Lettre dans laquelle le général accuse réception de la demande du Ministre pour que le général en chef donne le commandement supérieur à Dusseldorf au chef de la 108ème demi-brigade d'infanterie.
H 27 cm, largeur 19 cm à vue.
Présenté sous verre dans un encadrement moderne H 38 cm, largeur 31 cm.

France.
Révolution.
Bon état, insolé.

HISTORIQUE :
1799, Armée du Danube

Le 1er mars 1799, la 108e passe à l'Armée du Danube qui vient d'être constituée et placée sous les ordres de Jourdan. Elle fait alors partie de la 3e Division de cette armée (Général Gouvion-Saint-Cyr). Elle prend part le 19 janvier au combat de Pfullendorff ; le 25 mars à la défaite de Stokach où elle se conduit fort bravement. La Division Gouvion-Saint-Cyr, qui s'est retirée dans le mouvement général de retraite sur Rothweil, traverse de nouveau la Forêt-Noire, passe par Oberkirch et gagne Kehl. Le 6 avril 1799, toute l'armée française est derrière le Rhin, de Bâle à Kehl ; ne laissant que des postes d'observation sur la rive droite du fleuve.

La 108e fait partie des troupes qui couvrent la tête du pont de Kehl. Elle a plusieurs engagements avec les Autrichiens, notamment à Oberkirch et à Urlaffen, en avant de Kehl.

C'est à cette époque que les troupes de l'Armée d'Helvétie sont réunies à l'Armée du Danube et placées sous le haut commandement du Général Masséna. Celui-ci fait alors refluer en Suisse toutes ses forces. A cet effet, la 108e remonte la rive gauche du Rhin, passe par Bâle et va rejoindre le centre de l'Armée du Danube.

Le 25 Prairial an 7 (13 juin 1799), le Général de Brigade Rheinwald, Chef de l’Etat-major de l'Armée, écrit, depuis le Quartier général à Bremgarten, au Général de Brigade Decaen : "Au moment où vous avez quitté t'armée pour vous rendre à Strasbourg, d'après l'ordre du général en chef, le général Chérin, mon prédécesseur, a remis au citoyen Huard, chef de bataillon de la 108e demi-brigade, l'arrêté du Directoire qui vous met en jugement, ainsi que les pièces qui vous concernent. Le citoyen Huard a été invité, citoyen général, à accélérer la fin de cette affaire et à faire de suite, comme rapporteur, les informations nécessaires.

Je vous observe que le conseil de guerre ne peut être convoqué que lorsque le rapporteur aura instruit le chef de l'état-major général qu'il a réuni tous les renseignements propres à éclairer les juges. Alors je donnerai aux trois généraux que la loi désigne pour être membres du conseil de guerre, l'ordre de se rendre à Strasbourg. Jusqu'à ce moment, je ne puis rien faire de plus et j'attends que le citoyen Huard soit prêt. Il y a trois jours qu'il a reçu une nouvelle lettre pour l'inviter à presser la conclusion de l'affaire qui vous concerne" (Journal du général de brigade Decaen pour la campagne de l’an VII, la Division commandée par le général Souham, et l’Armée par le Général Jourdan, depuis Ventôse an VII jusqu’au 7 Fructidor an VII - in Picard E., Paulier V. : « Mémoires et journaux du Général Decaen », Plon, Paris, 1910, t. 1, p. 314).

Le 20 septembre 1799, la 108e est campée devant Zurich; à droite et à gauche d'Albisrieden. Elle est alors forte de 57 Officiers et de 2101 hommes. Elle a pour Divisionnaire le Général Mortier.

Le 25 suivant, elle est à la sanglante bataille de Zurich. Le lendemain matin, la 108e fait toujours partie des troupes qui attaquent Zurich, sur la rive gauche. La confusion est extrême dans cette ville encombrée d'équipages, de blessés d'artillerie. Enfin les Russes se décident à la retraite.

Deux Officiers de la 108e, le Capitaine Dubuisson et le Lieutenant Joly ont été tués dans cette glorieuse action, qui sauve la France de l'invasion austro-russe. En outre, parmi les blessés, la 108e compte les Capitaines Mercier, Guille et O'Brien ; les Lieutenants François, Schmitz et Cleq ; les Sous-lieutenants Beaudoin et Chambron.

Zurich enlevé aux Russes, et la Limmat franchie, la 108e avec la Division Mortier, se dirige sur Schwitz.

C'est dans une gorge ignorée du petit canton qui donne son nom à la Suisse que la Demi-brigade prend part, les 30 et 31 septembre, à deux combats qui comptent autant qu'une grande bataille dans l'histoire d'un Régiment et qui sont connus dans nos annales militaires sour le nom de Combats de la vallée de la Mitten. C'est à l'arrière-garde de l'armée de Souvarow, alors en pleine retraite, que la 108e a à faire. Elle bat dans ces deux journées complètement les Russes, mais elle éprouva de grandes pertes.

Les lieutenants Lami et Bouan sont tués ; le Commandant Huard, le Capitaine Millot, les Sous-lieutenants Ofhemin et Leroy sont blessés. Le Sous-lieutenant Dupays est nommé Lieutenant sur le champ de bataille par le Général en chef Massséna.

La bataille de Zurich et les combats qui la suivent nous rendent maîtres de la Suisse.

Le 11 Vendémiaire an 8 (3 octobre 1789), le Sous-chef de l’état-major général Rheinvald écrit, depuis Zurich, au Général de Division Soult : "D'après de nouvelles dispositions du général en chef, votre division, citoyen général, sera composée comme suit : 67e demi-brigade, 53e, 102e, 17e régiments de dragons, 1ère compagnie d'artillerie légère, et chaque demi-brigade ses grenadiers.
Vous aurez sous vos ordres les généraux de brigade Drouet et Brunet, et l'adjudant général Saligny.
Vous aurez également sous vos ordres le général Gazan , dont le quartier général est à Schennis. Il commande les corps ci-après : les 84e, 36e, 25e légères, 94e, 44e, deux compagnies d'artillerie légère, 10e régiment de chasseurs, deux escadrons du 7e de hussards.
Les généraux de brigade de cette division sont : Laval, Molitor, Lapisse, chef de brigade de la 36e, faisant fonctions.
Le général Mortier, dont le quartier général est à Schwitz, sera encore sous vos ordres. Il commande les corps ci-après : la 108e, un bataillon de la 38e, la 50e, deux escadrons du 1er régiment de dragons" (« Mémoires du Maréchal-général Soult », tome 2, p. 319).

Le 13 vendémiaire an 8 (5 octobre 1799), le Général de Division Soult écrit, depuis Schennis, au Général Mortier : "Je vous préviens, mon cher camarade, que, d'après de nouvelles dispositions, la division que vous commandez sera composée des 45e (44e ?), 50e , 84e et 108e, deux escadrons du 1er régiment de dragons et de six pièces de quatre.
Vous aurez sous vos ordres les généraux de brigade Laval et Molitor, et, pour l'état-major, les deux adjoints de l'adjudant général Lacour. Le général Gazan, que vous relevez dans cette position, vous indiquera celle des troupes et vous fera connaître les mouvements qu'elles ont opérés aujourd'hui.
Demain 14, vous mettrez votre division en marche et vous la dirigerez sur Wallenstadt et Sargans, faisant tout votre possible pour vous emparer de cette dernière ville, et vous prendrez position, la droite à Mels, couvrant avec force le Weistannerthal, et la gauche à Sargans, occupant cette ville. Vous jetterez des partis nombreux sur Ragatz et sur Axmoos, éclairant parfaitement la vallée du Rhin, et poussant quelques troupes jusqu'au pont de Zollbruck, dont vous vous emparerez, s'il est possible, mais cependant sans compromettre vos troupes.
Comme l'artillerie ne peut pas suivre votre marche, il faudra, en arrivant à Wallenstadt, vous emparer de tous les bateaux qu'il peut y avoir sur le lac, les envoyer de suite à Wesen chercher les canons et caissons que vous y aurez dirigés, et les embarquer pour vous être amenés.
Votre correspondance ne pouvant se faire que par Wesen et Lichtensteig, il faudra laisser à ce premier endroit un poste de correspondance, pour porter vos dépêches; il faudra aussi en mettre dans le Linthal, pour faciliter mes correspondances avec le général Loison, avec lequel je vous prie de correspondre, et demain pousser des troupes sur Pantenbruck et vers Flims.
Je vous préviens que demain, partant de Lichtensteig, je me porterai vers Saint-Gall ou Bischoftzen; je vous prie de me donner souvent de vos nouvelles.
Il sera nécessaire que vous fassiez éclairer la vallée de la Thur, par laquelle on pourrait faire venir votre artillerie, dans le cas où elle ne pourrait être embarquée sur le lac de Wallenstadt" (« Mémoires du Maréchal-général Soult », tome 2, p. 329).

Le même 13 Vendémiaire an 8 (5 octobre 1799), le Général de division Soult écrit, depuis Schennis, au Général Gazan : "Je vous préviens, mon cher camarade, que je donne ordre à la 36e demi-brigade, au bataillon des grenadiers, à deux bataillons de la 25e, à une compagnie d'artillerie légère et à deux escadrons du 10e régiment de chasseurs à cheval, de partir de suite, pour se rendre à Lichstensteig. Je vous prie de donner ordre à l'autre bataillon de la 25e, qui doit être avec vous, de partir également de suite, pour la même destination, et de le faire suivre par la 2e compagnie d'artillerie légère que vous avez, et par le restant du 10e régiment de chasseurs à cheval; n'en garder qu'un escadron jusqu'à l'arrivée du 1er régiment de dragons; alors cet escadron rejoindra le régiment. Sitôt que la 108e demi-brigade sera arrivée, elle relèvera la 94e, et vous ordonnerez à cette dernière de partir sur-le-champ, à marche forcée, pour se rendre à Lichtensteig. Vous voudrez bien vous y rendre, de votre personne, sitôt que vous aurez été relevé par le général Mortier, qui gardera sous ses ordres les généraux Laval et Molitor, et les 44e, 50e, 84e et 108e demi-brigades, et six pièces de 4. Je vous prie de prévenir de ces dispositions les généraux et commandants des troupes que je viens de vous désigner.
Je vous attends à Glaris, où je vous prie de vous rendre, aussitôt que vous aurez expédié ces différents ordres, et que vous aurez renvoyé sur Lichtensteig tous les détachements de corps qui doivent se rendre à cette destination. Prévenez le général Molitor qu'il doit continuer à poursuivre l'ennemi et de rendre compte de ses mouvements au général Mortier" (« Mémoires du Maréchal-général Soult », tome 2, p. 331).

La Division Mortier est portée vers Mlez et Sarganz.

Le 14 Vendémiaire an 8 (6 octobre 1799), le Général Soult adresse son rapport, depuis Lichtensteig, au Général en chef : "Je vous rends compte, mon cher général, du résultat des mouvements que j'ai fait opérer aux 2e, 3e et 4e divisions.
Le 11 au soir, l'ennemi ayant évacué le Muttenthal, le général Loison reçut ordre de porter des troupes dans le Linthal, par le Schachenthal, et d'en pousser vers Pautenbruck. Ces deux mouvements s'exécutèrent, le 12 au matin, et le général Gudin s'empara, en même temps, de la vallée d'Urseren.
Le général Mortier partit, le 12, du Muttenthal, avec un bataillon de la 38e demi-brigade et la 108e; il attaqua l'ennemi sur le mont Brackel, le força à se retirer dans le Klanthal, où il le poursuivit, après lui avoir fait trois cents prisonniers, pris un grand nombre de chevaux et de mulets, dix-huit cents fusils, beaucoup de munitions avec la voiture de Souwarow, et avoir vu jeter dans les précipices huit pièces de canon.
En évacuant le Muttenthal, Souwarow parut vouloir opérer sa retraite sur Altorff, mais le mouvement du général Loison dans le Schachenthal l’obligea à ramener précipitamment ses troupes sur Glaris, d'où, le 12, il entreprit vainement de nous repousser du défilé de Noefels.
Le 13, à 4 heures du matin, les Russes évacuèrent Glaris et firent leur retraite par Schwanden et le Semsthal, se dirigeant sur Coire. Les généraux Gazan, Molitor et Mortier devaient les attaquer, à la pointe du jour. J'ordonnai au général Gazan de détacher à leur poursuite le général Molitor. Celui-ci les joignit au-delà de Schwanden; il leur enleva huit cents prisonniers, une pièce de canon et quantité de chevaux et mulets. A la nuit, il se battait encore, en avant d'Engi, et il m'annonçait de nouveaux prisonniers.
L'ennemi a laissé dans Glaris six cents de ses blessés, dont plusieurs officiers, beaucoup d'équipages; et nos soldats ont pris, dans la poursuite, une caisse militaire contenant trente mille francs, qu'ils se sont partagés.
La perte des Russes, depuis le 8 de ce mois jusqu'au 13, où ils ont opéré leur retraite, est très-considérable; on leur a fait plus de trois mille prisonniers, en y comprenant les blessés qu'ils nous ont abandonnés. Le nombre d'ennemis tués dépasse quinze cents hommes ; parmi ces derniers se trouve le général des Cosaques, militaire très-estimé et regretté de sa troupe. La route est en outre couverte de mourants et de blessés; nous avons pris plus de huit cents chevaux ou mulets et une énorme quantité d'équipages.
Il est impossible de se faire une idée de l'état affreux dans lequel se trouve l'armée de Souwarow; ses soldats tombent de faim et de misère; depuis qu'ils sont en Suisse, ils n'ont pas reçu de pain. Le pays qu'ils ont parcouru offrait encore quelques ressources; ils ont tout dévoré, et ils s'en vont avec la malédiction des habitants de ces malheureuses contrées, et en voyant, à chaque pas, leurs forces s'affaiblir par les pertes continuelles que la rigueur du climat et la poursuite de nos troupes leur font éprouver.
Je suis parti hier au soir de Glaris, après avoir vu déboucher du Klanthal la colonne du général Mortier, et avoir fait opérer sa jonction avec celle du général Loison, venue par le Linthal. Le général Molitor continuait à poursuivre les Russes; je n'ai pas encore le rapport de sa marche, ni celui des derniers avantages qu'il doit avoir obtenus.
Aujourd'hui le général Loison doit porter des troupes du Pantenbruck jusqu'à Flims, s'il y a possibilité, et faire avancer une partie de la brigade du général Gudin vers Dissentis, pour menacer Ilanz; il gardera en même temps le Saint-Gothard, et tiendra une réserve à Urseren.
Le général Mortier, avec la 3e division, marche sur Sargans et Wallenstadt, pour prendre position, la droite à Mels, et la gauche à Sargans, couvrant le Weissanerthal. Il jettera des partis sur le pont du Rhin, dit Zolbruck, il s'en emparera même, s'il est possible; il gardera la vallée du Rhin jusqu'à Axmoos, et éclairera celle de la Thur.
Le général Gazan, avec la 2e colonne des troupes que j'ai rassemblées à Lichtensteig, prendra position aujourd'hui, en avant de Weil. Demain, il marchera sur Constance pour s'en emparer, et il enverra des reconnaissances, pour communiquer avec le corps que vous devez porter sur Stein.
La première colonne des mêmes troupes, commandée par le général Brunet, a porté son infanterie légère à Scbwelbrug; demain elle éclairera Appenzell, et prendra position en avant de Saint-Gall, d'où elle enverra de fortes reconnaissances sur Arbon, Roschach et Rheineck.
Mon quartier général sera demain à Saint-Gall" (« Mémoires du Maréchal-général Soult », tome 2, p. 271).

Le Rhin sert alors de ligne de démarcation entre les deux armées comme au commencement de la campagne, et elles prennent leurs quartiers d'hiver au milieu du mois d'octobre.

Le 12 octobre, la 108e est à la 3e Division (Géneral Soult).

Pendant que l'Armée du Danube est établie en ses quartiers d'hiver, sur la frontière orientale de la Suisse reconquise, le Général Bonaparte devient Premier Consul. A peine au pouvoir, il constitue une nouvelle Armée du Rhin, dont il donne le commandement au Général Moreau. La 108e va former alors avec la 14e légère, les 46e, 56e et 57e de ligne et le 3e Régiment, une Division aux ordres du Général Delmas. Cette Division est l'une des trois Divisions du Corps de réserve qui défendent Bâle avec son camp retranché, sur la rive droite du Rhin et occupent la Haute-Alsace. Le Général Moreau commande en personne le Corps de réserve.

Selon les Etats Militaires de l'an VIII (1799-1800), la 108e Demi-brigade est à l'Armée du Rhin. Elle est commandée par le Chef de Brigade C. Pouchin. Chefs du 1er Bataillon, CC. Huard; du 2e Bataillon, Mathis, du 3e Bataillon, Guillon.
Adjudants-majors, du 1er Bataillon Coquereau; du 2e Bataillon Griffoul, du 3e Bataillon Amat.
Quartiers-maîtres-trésoriers, Coutellier, Baillon.
Chirurgiens-majors : Guillou, Jourisseau, Fabre.
1er Bataillon : Capitaines C. C. Remy, Grenadiers, Boulet, Charette, Gillet, Obrien, Garnier, Mousse, Guille, Millot. Lieutenants Mercier, Pequignol, Bonaventure, Claustre, Jolly, François, Tache, Lemaître, Lemaître. Sous-lieutenants Barbot, Ottenin, Noury, Dumas, Bellaigue, Frazé, Remond, Guerendel, Chambeau.
2e Bataillon : Capitaines Dhonnieres, Grenadiers, Raimond, Vincenne, Legrand, Bienvenu, Samson, Hannequin, Masson, Quenel. Lieutenants Lefranc, Bessard, Mourette, Lalance, Grassoreille, Dupays, X, Skenardy, Tarisson. Sous-lieutenants Baudoz, Bonne, Leroy, Delbos, Lacroix, X, Laborie, Leclerc, Duluquy.
3e Bataillon : Capitaines Tremoulet, Grenadiers, Galmard, Mathieu, Moyaux, Bouchot, Bourgeois, Mirande, Dolhin, Pichot. Lieutenants Schmitz, Lefevre, Dupré, Joly, Menard, Robert, Chediu, Luderitz, Poulombe. Sous-lieutenants X, X, Chazal, X, Dossat, Schmitd, Rottin, Voisin, X.

En Frimaire an 8, on soumet au Général Bonaparte une "Proposition de nommer adjudant général le citoyen Mathys, chef de bataillon à la 108e demi-brigade"; "La première bataille où il se distinguera", répond ce dernier (Chuquet A. : « Inédits napoléoniens », Paris, 1913, t.2, lettre 1740 - Note : Cf. Chuquet Feuilles d'histoire, 1913, 1, p. 462-463).
Référence : 12542
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