BONNET À POILS DU 3ème RÉGIMENT DES GRENADIERS À PIED DE LA GARDE IMPÉRIALE, MODÈLE 1860, SECOND EMPIRE (1860-1870).
Vendu
BONNET À POILS DU 3ème RÉGIMENT DES GRENADIERS À PIED DE LA GARDE IMPÉRIALE, MODÈLE 1860, SECOND EMPIRE (1860-1870).
Carcasse en cuir naturel, composée d’éléments cousus entre eux bord à bord. Au niveau de la coiffe, la carcasse est taillée en biais, ce qui fait redescendre la partie arrière. L’arrière de la carcasse est fendue en forme de triangle garni d'un sanglon de cuir cousu. Ce dispositif permet d’adapter la taille de la coiffure au tour de tête du propriétaire. À l’avant, le bonnet mesure 30 cm de haut, à l’arrière 40 cm, largeur dans le haut 25 cm. Peau d’ours teinte en noir, constituée de plusieurs morceaux cousus entre eux, elle est enfilée sur la carcasse et cousue dans le bas, avec le bord de la coiffe. Porte-plumet cousu sur sa gauche. Une petite ouverture est pratiquée à 14,5 cm du bord inférieur, destinée à recevoir l’embase du plumet. À l’intérieur de la peau, est cousu un gousset de cuir. Deux crochets en métal laqué noir, permettant d’attacher la jugulaire sont fixés de chaque côté. Jugulaire mentonnière en cuir recouverte d'une chainette gourmette à anneaux de laiton.
Calotte (l’expression « culs de singe » ne se rencontre jamais à l’époque, il s’agit d’un terme impropre utilisé par les collectionneurs), en drap écarlate. Sa forme est ronde, d’un diamètre de 10,5 cm. Au centre, une grenade blanche brodée à 9 flammes, elle mesure environ 11 cm de haut par 7 cm de large (le corps de la bombe fait 4 cm de diamètre). Les bords du drap sont repliés sur eux-mêmes puis sommairement cousus.
Coiffe intérieure manquante. Marquage et étiquette daté 1864 matricule 2024 affecté au 3ème régiment de Grenadier de la Garde Impériale.
Plaque en laiton de 14 cm de haut sur 16 cm de large. Estampée au centre d’une aigle couronnée posée sur le fuseau de Jupiter étincelant et une bombe découpée du chiffre « 3 » (3e Régiment), sur fond de soleil rayonnant.
Très bon état de conservation, petits accidents à la fourrure et à la carcasse.
France.
Second Empire.
Carcasse en cuir naturel, composée d’éléments cousus entre eux bord à bord. Au niveau de la coiffe, la carcasse est taillée en biais, ce qui fait redescendre la partie arrière. L’arrière de la carcasse est fendue en forme de triangle garni d'un sanglon de cuir cousu. Ce dispositif permet d’adapter la taille de la coiffure au tour de tête du propriétaire. À l’avant, le bonnet mesure 30 cm de haut, à l’arrière 40 cm, largeur dans le haut 25 cm. Peau d’ours teinte en noir, constituée de plusieurs morceaux cousus entre eux, elle est enfilée sur la carcasse et cousue dans le bas, avec le bord de la coiffe. Porte-plumet cousu sur sa gauche. Une petite ouverture est pratiquée à 14,5 cm du bord inférieur, destinée à recevoir l’embase du plumet. À l’intérieur de la peau, est cousu un gousset de cuir. Deux crochets en métal laqué noir, permettant d’attacher la jugulaire sont fixés de chaque côté. Jugulaire mentonnière en cuir recouverte d'une chainette gourmette à anneaux de laiton.
Calotte (l’expression « culs de singe » ne se rencontre jamais à l’époque, il s’agit d’un terme impropre utilisé par les collectionneurs), en drap écarlate. Sa forme est ronde, d’un diamètre de 10,5 cm. Au centre, une grenade blanche brodée à 9 flammes, elle mesure environ 11 cm de haut par 7 cm de large (le corps de la bombe fait 4 cm de diamètre). Les bords du drap sont repliés sur eux-mêmes puis sommairement cousus.
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France.
Second Empire.
Référence :
18498
Prochaine mise à jour vendredi 22 novembre à 13H30
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