header

PISTOLET DE CAVALERIE DE DRAGONS « L'HOPITAL DRAGONS », MODÈLE 1733, ANCIENNE MONARCHIE.

Vendu
PISTOLET DE CAVALERIE DE DRAGONS « L'HOPITAL DRAGONS », MODÈLE 1733, ANCIENNE MONARCHIE.

Longueur totale de l'arme 48,6 cm, calibre 16,7 mm.
Canon du modèle 1717 et 1728, à huit pans finissant arrondi à grains d'orge, longueur 31 cm, avec pan supérieur gravé « REG DE LHOPITAL DRAGONS », longueur du canon avec la queue de culasse 36,8 cm. Platine au modèle 1728. Monture en noyer à fût long s'arrêtant au ras de la bouche du canon. Garnitures en laiton. Embouchoir sous forme d'un collet constitué d'une feuille de laiton. Porte-baguette fixé par goupilles. Contre-platine fixée par deux vis d'acier dont l'une sert aussi de fixation au crochet de ceinture (en acier). Sous-garde fixée devant par un pivot et sa goupille et à l'arrière par deux vis en acier. Calotte de crosse à oreilles fixées par des pointes, calotte avec un ovale dissimulant la fixation de la calotte au bois. Baguette manquante.
Bois gravé en creux « M P VG XV ».

Très bon état, patine d'usage.

France.

Ancienne Monarchie.

NOTE : Cet exemplaire, bien que raccourci et ayant perdu sa gravure de canon, est identique à l'exemplaire des collections du Musée de l'Armée.

HISTORIQUE : Debenu en 1739 la propriété du comte de l'Hôpital, frère du marquis de Vitry, il se rend en 1741 à Francfort et de là en Bohême. Il est au combat de Sahai et à la défense de Prague. En 1743, après un séjour à Verdun, il rallie l'armée d'Alsace et se distingue au combat de Rheinweiller avec le régiment Colonel général, et aux combats de Weissembourg et d'Augenheim en 1744. À moitié détruit à Augenheim, il est envoyé en Bretagne pouuuur se refaire en surveillant les côtes. Il avait son principal quartier à Quimper. En 1746 il défend Lorient contre une attaque des Anglais, et en 1747 après une station à Besançon, il part pour le camp de Valence et de là pour l'Italie, où il est employé à la défense de la rivière de Gênes. En 1748 il est en garnison à Carpentras, Digne et Sisteron, et plus tard il réuni à Neubrisach. On le voit en 1740 à Nîmes, en 1750 à Besançon et en 1753 à Belfort.
Référence : 11262
Certificat
Prochaine mise à jour vendredi 27 décembre à 13H30
POUR TOUT ACHAT, PAIEMENT EN PLUSIEURS CHÈQUES POSSIBLE


bertrand.malvaux@wanadoo.fr 06 07 75 74 63

FRAIS DE PORT
Les frais de port ne sont calculés qu'une seule fois par commande pour un ou plusieurs objets, les envois sont tous recommandés, car c'est le seul moyen d'avoir une preuve de l'envoi et de la réception. Pour les colis dont la valeur ne peut être assurée par la Poste, les envois sont confiés à la société DHL ou Fedex avec valeur réelle assurée, le service est de qualité mais le coût est plus élevé.


DROIT DE RETOUR
Les objets peuvent être retournés dans un délai de 8 jours après leur réception. Il faut les retourner en recommandé aux frais de l'expéditeur, dans leur emballage d'origine, et dans leur état d'origine,


AUTHENTICITÉ
La sélection des objets proposés sur ce site me permet de garantir l'authenticité de chacune des pièces qui y sont décrites, tous les objets proposés sont garantis d'époque et authentiques, sauf avis contraire ou restriction dans la description.
Un certificat d'authenticité de l'objet reprenant la description publiée sur le site, l'époque, le prix de vente, accompagné d'une ou plusieurs photographies en couleurs est communiqué automatiquement pour tout objet dont le prix est supérieur à 130 euros. En dessous de ce prix chaque certificat est facturé 5 euros.
Seuls les objets vendus par mes soins font l'objet d'un certificat d'authenticité, je ne fais aucun rapport d'expertise pour les objets vendus par des tiers (confrères ou collectionneurs).